575m | Massif : Écrins | |
1010m | Secteur : Oisans | |
W / E | ||
Difficulté PD |
Description Montée Une traversée ascendante à gauche, dans des pentes orientées S qui peuvent être gelées, mène du refuge à l’entrée du glacier de la Selle (3000m) en passant juste sous l’éperon S de la Pointe Thorant (point côté 2926 m). Un faux-plat glaciaire sans difficulté de 1,5 km mène au pied de la Brèche du Râteau. La gagner par un couloir en neige assez raide d’environ 50 m à 45°, avec quelques rochers. Le couloir qui fait suite est en face E, les premiers 50 mètres sont raides (40°) mais pas trop exposés ni encaissés. Une main courante est cependant utile. Pour rejoindre le fond du vallon des Etançons (cote 2500 m) et le refuge du Châtelleret, la descente est évidente dans l’axe du couloir (35° puis 30°), avec de grosses boules d’avalanche de neige humide au printemps dans la partie basse. De là, on peut se laisser descendre vers le refuge du Châtelleret. |
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1 jour |
Accès depuis La Grave ou St Christophe en Oisans |
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– | Pente 40°/45° | |
E1 |
Une traversée de 3 jours dans le massif des Écrins vec une première journée depuis le col de la Lauze en partant des remontées de la Grave, pour rejoindre le refuge de la Selle. Une première journée qui fut assez courte mais sous la neige du départ des installations jusqu’au refuge de la Selle. La neige était encore présente en quantité derrière le col de la Lauze pour descendre quasiment jusqu’au refuge sans enlever les crampons. Dès le lendemain, nous pensions aller en direction du col du Replat pour effectuer la traversée sur le refuge du Châtelleret mais le temps n’était toujours pas de la partie et nous décidions alors de basculer par la Brèche du Rateau. Ambiance garantie au col avec un vent fort et de la neige, de vraies conditions hivernales. Trois rappels furent nécessaire pour descendre le couloir en neige au début puis en rochers jusqu’à une grosse rimaye bien marquée à franchir . La suite de la descente se fera en neige jusqu’au vallon des Étançons et sous la neige quasiment jusqu’au refuge où finalement la pluie fit son apparition. |
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